Plastic-automatoc
Retard en vue va! cours à ton cheval qui n'a pas de nom écoute la bribe qui ne parle que de lui et de ses yeux de fer posés sur la chaussée sur tes mouvements et ton univers en expansion sans carcasses écorchées en mille ans suffit que d'un instant pour découvrir que les diamants sont de la roche cassée au fond des poches aux yeux truffés de rêves à toi partage embrasse encense guéris nous attaque le nerf de la colère par pulsion entouré ferme de mon vécul qui n'a pas de poésie et voilà la fin de mon clin d'oeil à Mil.
6 commentaires:
J'voulais pas, j'voulais pas, j'voulais... p... aaaah !
Cul du matin, entrain !
Héhé tks Rwa.
Ouh ! Le monde tremble à l'idée de cette rencontre ! Eh, eh, eh !
C'est arrivé?
Ou c'est de la litt?
Tout cas, c'est beau.
Si ça c'est pas le soleil Ricard, je sais pas ce que c'est.
Pas d'la litt.
Les photos sont collectives.
Pas le test automatique.
Oui Gom, pareil comme su'l'Ricard!
OUH! La rencontre de deux rousses, les mecs, oui! (Une vraie de vraie dans ses racines dans son âme et dans sa turbulence tranquille, et une qui se sent comme telle dans sa tête dans ses yeux et dans sa fougue burlesque).
On remettra ça? J'aurai mon Sony et on se la pètera en clichottant tranquillement, nos deux instincts réunis. :0)
Ton clin d'oeil est le grand cadeau de ma semaine. Et ton texte est sublime, je le savais bien!
Un cadeau? Tant mieux !
Merci Mil.
Click click.
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